Domaine de Kerguehennec_3e_17/10/2023

Que de choses à découvrir au domaine de Kerguéhennec !

L’ensemble des élèves de troisième du collège Jules Ferry de Quimperlé a eu la chance de passer une journée originale dans un lieu dédié à l’art et à la nature pour un projet interdisciplinaire. Les professeurs d’EPS et d’arts plastiques ont organisé ce moment pédagogique visant plusieurs objectifs en lien avec les programmes.

Une journée en deux temps articulés autour du pique-nique zéro déchet.

Munis d’un livret pédagogique à compléter, les élèves ont participé à une course d’orientation à travers le parc paysager à la recherche des sculptures contemporaines et des essences d’arbres remarquables. « Il a fait très beau l’après-midi. La course d’orientation est un bon moyen de découvrir la collection de sculptures tout en étant libre. » déclare Ewan. Et Lisa insiste sur la beauté du domaine avec ses grands espaces, ses reliefs et ses forêts. « C’était beau, apaisant mais épuisant. » résume Charlène.

Le pique-nique zéro déchet ce n’est pas évident mais c’est important d’y réfléchir. La pollution nous concerne tous. Par exemple, on peut prendre des boîtes réutilisables et des gourdes plutôt que des bouteilles plastiques.

Une journée riche en expériences sensorielles mais aussi en expérimentations artistiques….

Accompagnés des médiatrices du domaine, les élèves ont approfondi leur analyse de 3 œuvres du parc de sculpture et découvert la notion d’in situ. « C’est intéressant de voir des sculptures dans la nature, de comprendre comment les artistes s’en sont inspirés pour créer. L’ambiance était agréable, on était attentives. » témoignent Lison et Léana

Ils ont ensuite participé à un atelier artistique en lien avec l’exposition. Matthieu explique : « J’ai pris les éléments proposés et j’ai assemblé les morceaux de bois en tourbillon autour de la pierre car c’est elle qui a la couleur la plus claire. J’ai collé les éléments végétaux autour pour renforcer la spirale. » «C’était bien chaque œuvre a une histoire. On bricole, on fait comme on veut. C’est notre imagination qui est libre » s’enthousiasment Anaëlle et Maïa.